Best Of Verviers

L'ouvrage que nous voudrions vous partager est un petit bijou de 227 pages, richement illustré grâce à la participation de 36 artistes de renom dont Didier Comès, René Hausman ou Jean-Claude Servais sans oublier les nombreux documents graphiques et photographiques provenant de la collection de l'auteur.

Ils permettent à cette édition revue et augmentée (la première édition a été publié en 1989 chez Mardaga) de mieux s'approprier ce qui fait aujourd'hui partie de notre culture, toutes ces légendes et traditions qui ont influencé ceux qui nous ont précédés qu'ils soient d'Ardenne ou de Bretagne, et qui ouvrent encore et toujours l'importante et nécessaire part d'imaginaire, de fantastique et de rêve dont chacun a besoin aujourd'hui.

 Il nous a été donné de découvrir un ouvrage dont le caractère exceptionnel nous fait dire que nous pouvons le classer avec celui de Lucien Klinkenberg et du photographe Jacques Spitz «Décors intérieurs verviétois » parmi les ouvrages à caractère régional, les plus remarquables que nous ayons eu la chance de découvrir ces dernières années.

« L'Ardennais » édité par le musée « En Piconrue » est lui aussi réalisé par un duo d'exception : Edmond Dauchot et Albert Moxhet.

Samedi Coup de cœur d’Albert Moxhet 

Jean-Pierre Minguet est cycliste. Il est aussi poète. De cette double passion sont nés deux livres consacrés l’un à l’Amblève, l’autre à l’Ourthe, avec des photographies de Philippe Blondieau.

Une chose en entraînant une autre, notre cycliste-poète a délaissé momentanément la poésie pour recueillir, au fil d’autres itinéraires, une vaste documentation sur la région où ruisselle l’eau des Hautes Fagnes.

Un soleil radieux accueillait l'auteur verviétois Georges Henrard de retour dans sa région ce samedi 22 octobre 2011. Il présentera  son livre le 6 novembre prochain aux Minières à Verviers !

Nous lui avons consacré un film à l'occasion de la sortie de son nouveau livre qui a demandé 3 ans de travail   "L'épopée d'un tram vicinal Spa - Verviers 1909 à 1954". 

Nous avons suivi notre spécialiste des vicinaux et trains régionaux sur le parcours du tram entre Verviers et Spa. A découvrir : des échanges de fond, des petites anecdotes et explications didactiques. Découverte d'un superbe ouvrage et d'un homme attachant.

Notre livre du mois est un fort bel ouvrage. Un livre reprenant des illustrations de nombreuses et remarquables peintures, celles d'un homme né à Ferrières en 1935, mais pas seulement !

Ces peintures sont accompagnées de textes qui nous emmènent à la suite de l'homme et de son long itinéraire de vie. Désiré, quel beau prénom, fut charmé dans son enfance par la nature qui l'entourait ou le récit envoutant de Robinson Crusoé découvert grâce à l'arrivée providentielle d'un instituteur qui avait compris comment nourrir l'imagination des enfants !

Samedi Coup de cœur d’Albert Moxhet 

Ce qui est frustrant dans les Journées du Patrimoine, c’est qu’on y propose tellement de choses intéressantes qu’il est impossible de voir en quarante-huit heures le quart de ce qui vous intéresse le plus.

Heureusement, il reste des documents qui permettent de prolonger le plaisir et de susciter des découvertes. C’est le cas tout particulièrement avec le nouveau livre de Freddy Joris, Pierres et Lettres verviétoises. 

 Samedi Coup de cœur d’Albert Moxhet 

L’Institut du Patrimoine Wallon fait preuve d’une belle activité dans les domaines de l’archéologie, de la sauvegarde et de la restauration de notre patrimoine, bien évidemment, mais aussi en publiant de nombreux ouvrages qui s’attachent à mieux faire connaître les sites qui en ont fait l’objet et les moyens mis en œuvre. Deux publications récentes situent ces perspectives de manière particulièrement originale.

Les éditions verviétoises "Luzabelle", quel beau nom, nous annoncent la sortie de leur premier livre pour enfants ce 12 décembre 2010. C'est une chouette idée, d'autant plus que les fêtes approchent. Nathalie Hausman, l'éditrice et Yannick Thiel l'illustrateur nous en parlent avec passion. Bonjour Nathalie, quel est ce projet que vous avez mis sur pied en créant les Editions Luzabelle?
 
Les éditions « Luzabelle » sont nées de l’aboutissement d’idées, de rêves, de désirs de montrer surtout des images de qualité autour de deux univers : la Nature et le monde légendaire.
« Luzabelle » est née pour promouvoir et soutenir la carrière de ces illustrateurs qui n’ont de cesse de nous émerveiller en nous emmenant dans la poursuite de leurs rêves.

Il est des livres qui traînent longtemps sur les tables, encollés par de petites mains sucrées,pâlis aux rayons du soleil, écornés sous nos doigts fatigués.Je les garde « à cœur de vue »  comme l’écrit Brigitte Jacques (*), auteur de l’un de ces livres compagnons de mon quotidien. 

Voici « Les choses qu’on ne dit pas », celles d’un chanteur célèbre pour son art de « Prendre un enfant par la main » et de danser « La Tarentelle » Taxé de ringardise par le public branché des grandes métropoles, Yves Duteil n’a pourtant pas fini de faire battre les mains et le coeur de son public

Non, les belgicismes ne sont pas une maladie honteuse.

Et pourtant, jusque dans les années 1970, depuis l’école primaire jusqu’à l’université, ainsi que dans d’autres milieux très puristes, on se livrait à une impitoyable chasse aux belgicismes, une chasse fondée sur le vieux principe qu’ « il n’est bon bec que de Paris » et qu’il fallait donc éradiquer tout ce qui s’écartait du français tel qu’on le parle à Paris. Ce qui est d’ailleurs une forme de snobisme ridicule, il suffit, pour en être convaincu, de constater que, depuis longtemps déjà, les parisiens ont tué des sons comme « un », par exemple, devenu « in ».

Certaines découvertes font grandement plaisir, surtout lorsqu'elles se font fortuitement. De quoi s'agit-il ? D'une rééditions d'un ouvrage de qualité qui fait la part belle à notre culture et notre patrimoine : Le dictionnaire populaire wallon français en dialecte verviétois, écrit par Jean Wisimus en 1947.

Petite présentation : Sur plus de 500 pages, précédées d’une table de prononciation, Wisimus nous traduit à forces d’exemples anecdotiques, succulents, le discours des gens de Verviers. Plusieurs milliers de mots wallons deviennent compréhensibles pour le plus grand bonheur du lecteur.

Nous avons rencontré Pierre Stembert à l'origine de cette initiative.

Nous avons été interpellé par cet ouvrage sur Verviers qui vient de paraître dans nos librairies. Il s'agit plutôt d'une réédition. Une excellente idée car sa lecture nous a amusé, ému, intéressé. Philippe Vivroux, vous  avez réédité "Le Carnet d'un Flâneur-Le Vieux Verviers" publié pour la première fois en 1894 par F. YMART.  Vous auriez découvert cet ouvrage il y a 20 ans à la bibliothèque communale de Verviers? Comment naît votre projet d'édition ?

Philippe Vivroux : Mon projet d’édition est né de mon souci de combler les éventuelles périodes creuses consécutives à la cessation de mon activité professionnelle pour cause de retraite.

BoV :Quelles difficultés et joies rencontrez-vous dans la réalisation de ce projet ?
P. V. : La difficulté principale est de trouver une distribution et une diffusion qui assurent une présence efficace dans les librairies de France et de Belgique.  Rentabiliser un projet sur notre seul pays est très aléatoire.

Albert Fleury, est notre chroniqueur pour la rubrique "Artistes de chez nous". Il est passionné par ce qui touche à la culture et particulièrement la photographie. Qui est Albert Fleury ?

- Après un longue carrière dans l’enseignement, j’ai maintenant la chance de me consacrer entièrement  à ma passion pour la photographie que je pratique en autodidacte depuis 25 années.

Mes photos ont été exposées à Verviers, Liège, Charleroi, Bruxelles, Luxembourg , Québec City et dans d’autres lieux .

N’étant pas doué pour l’écriture,  je voudrais faire de la poésie avec un appareil photo, un peu comme Jea Loup Sieff, Josef Koudelka, Idislawe Kielar ou Daniel Michiels

Parfois il est trop tard: l'oubli, l'indifférence, les guerres, la mort ont effacé toutes les traces et laissent toutes ces histoires enfouies dans le passé.
C'est un peu ce qui m'est arrivé.

En 1936-1937, Willy Marichal recueillait, en wallon, sur le terrain, les témoignages de personnes âgées concernant les légendes et croyances populaires des localités de Haute Ardenne, de Sourbrodt à Vielsalm en passant par Malmedy. Ce collectage était la matière d’une thèse de doctorat défendue devant l’Université de Bonn.

L’éminent folkloriste Léon Marquet fit connaître, au travers de plusieurs de ses publications, un certain nombre d’extraits de ce collectage, mais jamais l’ensemble de l’étude ne fut publié en français.

Qui s'intéresse au théâtre contemporain en Belgique et à ses acteurs, ne peut avoir évité sur scène, au fil de ces 60 dernières années, la route artistique du Verviétois André Debaar.

Tour à tour, sociétaire au Théâtre Royal du Parc, acteur et metteur en scène au Théâtre National, professeur au conservatoire de Bruxelles, codirecteur du festival de Spa, André Debaar aura marqué le monde du théâtre belge. Au cinéma et à la télévision, il a tourné pour Raymond Rouleau, Jacques Brel, Yves Boisset etc. Il vous convie dans ses Mémoires, écrites ou audiovisuelles, aux rencontres importantes de sa vie professionnelle et personnelle.

160 pages de pur bonheur pour tout qui a été un jour aux Francos. Souvenirs, souvenirs…. !

Anne van Stappen vous venez chez nous dans le cadre d'une journée totalement novatrice, baptisée « Samedi santé » ce samedi 18 avril 2009 au Grand-Théâtre de Verviers ouverte à tous.

Votre livre roman sur la communication non violente "Ne marche pas si tu peux danser" ne nous invite-t-il pas à devenir plus léger, de corps et d'esprit ?

- C’est vraiment mon rêve : mettre par ce roman au titre évocateur, de la légèreté dans les esprits, afin que chacun soit plus vivant et prenne aussi de la densité grâce, peut-être, à la danse-ité !

« Un olivier en Belgique, de votre rêve à la réalité du climat » de Christiane Dhoore. C’est dans son nouveau livre que Christiane Dhoore, d’origine Stembertoise, nous dévoile tout son savoir acquis par passion de la nature afin de réussir la plantation des oliviers ornementaux en Belgique.