Best Of Verviers

Le numéro 113 de Temps Jadis est sorti ! Le « mot du président » nous donne une idée du contenu. Dans ce numéro,vous plongerez dans l’univers de la tenderie, à nos jours interdite.« Dans les environs vous apercevrez la petite chapelle de Halloux-Limbourg, reconstruite« après la guerre, en 1947. « Ensuite vous lirez l’historique de la ferme des boues de Heusy, suivi de celui de« la Maison Delsemme en Crapaurue, et un complément d’information sur les enfants« espagnols évoqués dans la revue N° 112.

N’hésitez pas à découvrir « Temps Jadis » qui est en vente dans toutes les bonnes librairies ou via le site www.tempsjadis.be pour un abonnement ou informations. Sur ce site vous trouverez également un répertoire ‘images » et un répertoire « articles parus », ainsi que la liste des anciens numéros encore disponibles. Temps Jadis parait à la fin de chaque  trimestre.      

"Toute l’équipe de Temps Jadis en profite pour vous remercier pour vos bons vœux émis« en vous réabonnant, vous souhaite une bonne lecture, et vous donne rendez-vous fin juin."

Le Président. 

Voici un petit extrait d’un N° épuisé :

 -Le kiosque de la fête à Heusy

-C’était un évènement que la Kermesse à Heusy !-Elle se déroulait fin juin, début juillet, c.à.d. à l’époque de la procession paroissiale.-La plupart des familles préparaient à cette occasion des grandes tartes d’une copie et demi, qu’-elles cuisaient, soit à domicile, soit chez Hansenne le boulanger, et la parenté était de la fête.

-Le dimanche après-midi, c’était l’envahissement général des Heusytois, mais aussi de bon nombre-de Verviétois des boulevards qui appréciaient la kermesse. Le soir on dansait dans une guinguette-installée pour la circonstance sur un  terrain jouxtant l’ancienne Barrière (immeuble toujours situé-au N° 76 de la Chaussée de Theux).

Par la suite, le comité des fêtes fit construire un kiosque par le-menuisier Dejardin, ce kiosque fut alors installé Place de l’Eglise juste derrière le monument aux morts.-Les Heusytois de plus de 60 printemps, se souviennent sûrement de ces bals champêtres où il-leur fallait payer 1 franc par danse, (sauf quelques malins qui comme moi connaissaient bien les-les contrôleurs Sagehomme et Minguet et qui passaient à l’œil…il y a prescription !).

-Ce précieux kiosque couvert se transformait aussi à l’occasion en théâtre de verdure et permit à-de nombreuses troupes locales ou régionales de se produire. On y passa aussi des films et il servit à maintes fêtes enfantines et distributions de prix aussi bien pour l’école Sainte Marie que pour l’école Communale. Les adultes se retrouvaient le lundi soir pour le bal des souscripteurs et enfin la kermesse se clôturait-par le bal public du mardi soir au cours duquel avait lieu la très fameuse bataille de confetti.-De renommée régionale, elle recueillait toujours un énorme succès.

-Hélas tout cela se termina en 1963 et il me fut impossible de savoir ce qu’était devenu le fameux                                                              

-kiosque : heureusement il reste le souvenir.-Léon Péters TJ N° 59 sept. 1998